Shalom mes bien-aimés dans le Seigneur ! Que la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence et Sa joie ineffable vous soient multipliées dans le précieux et le glorieux de Jésus-Christ de Nazareth.

Nous reprenons là où nous nous sommes arrêtés la fois dernière. Pour tous ceux qui viennent de nous rejoindre, nous répondons à notre toute première question : « Pourquoi seulement un cœur joyeux qui est un bon remède ? Pourquoi pas une autre chose ? Nous avons déjà vu que c’est parce (1) c’est du cœur que provienne la vie et avons aussi vu comment l’amertume peut nous éloigner de Dieu et retarder notre bénédiction, (2) Parce qu’il y a d’abondantes joies dans la présence de Dieu, (3) parce que la joie de Dieu est notre force, nous avons parlé de deux vérités sur la joie naturelle ou humaine.

3. La joie de Dieu est notre force !

L’une de choses que fait la maladie est qu’elle nous affaiblie. La maladie fait de sorte que notre corps refuse ce qui lui donnera la force, la nourriture. Des fois, au-delà de refuser la nourriture, le corps la rejette même par des vomissements. Pour certaines personnes, il y aura des traitements qui ne marcheront pas, il faudrait changer de traitement, changer d’hôpitaux, chercher des spécialistes dans le but de chercher à soigner la personne. Entre temps, la personne s’affaiblira de plus en plus, plus elle s’approche de la mort si rien ne se fait avant. C’est ce qui fait que certains entrent dans le coma et soient pris en charge par les appareils, on leur met des sondes çà et là pour essayer de les maintenir en vie.

La maladie est vraiment un agent de la mort et il ne faut pas l’aimer. Si la personne malade n’a pas Dieu ou n’est pas affermie dans la parole de Dieu, en regardant son état, elle va commencer à sombrer dans la tristesse etc.

C’est la raison pour laquelle nous avons besoin d’une force qui ne vient pas de la nourriture, de produits médicaux, ni d’aucune autre source mais de Dieu seul. Cette force existe bel et bien, et nous est communiquée par la joie de Dieu.

Lisons cette histoire dans Néhémie 8 :9-10 :
« Néhémie, le gouverneur, Esdras, le sacrificateur et le scribe, et les Lévites qui enseignaient le peuple, dirent à tout le peuple : Ce jour est consacré à l’Eternel, votre Dieu; ne soyez pas dans la désolation et dans les larmes ! Car tout le peuple Pleurait en entendant les paroles de la loi. (10) Ils leur dirent : Allez, mangez des viandes grasses et buvez des liqueurs douces, et envoyez des portions à ceux qui n’ont rien de préparé, car ce jour est consacré à notre Seigneur; ne vous affligez pas, car la joie de l’Eternel sera votre force. »

Les parties qui nous intéressent les plus sont en gras. Qu’est ce qui fait que vous soyez dans la désolation ? Qu’est-ce qui vous précipite dans les larmes ? C’est le tout dernier diagnostic médical ? C’est cette maladie qui semble être incurable ? Vous pouvez surmonter cela si et seulement si vous laissez la joie de Dieu remplir votre cœur. C’est la joie de Dieu qui sera notre force ! La joie de Dieu pour nous qui la possédons déjà est notre force !

La joie de Dieu nous donnera la force dont nous avons besoin, que rien ni personne ne pourra nous communiquer. La joie de Dieu empêchera que nous sombrions dans les soucis dans les inquiétudes, la désolation et les pleurs. Alors que l’ennemi cherche à nous voir dans les sanglots, abattus, découragés, il sera étonné de nous voir en train de chanter et de louer car la joie de Dieu est notre force.

Faisons cette prière ensemble :

Cher tendre Père céleste, je Te bénis ce matin pour Ta Parole ! Peu importe ce que je traverse, peu importe ce que je vis, peu importe la situation de ce membre de ma famille, je fais le choix de Te louer, T’exalter et Te glorifier ! Je Te glorifie parce que Tu es le Maître de toutes choses, et c’est Toi qui change les temps et les circonstances. Tu es au contrôle de tout ce que je traverse actuellement et rien ne peut ni T’étonner, ni Te dépasser.

Je prie Ô tendre Père céleste que Tu me remplisses de Ta joie. Que Ta joie ineffable inonde tout mon cœur maintenant. Que la joie de Dieu qui donne la force jaillisse dans toutes les dimensions de mon être, mon esprit, mon âme et mon corps. Par la puissance du Saint-Esprit, que la joie de Dieu déborde en moi.

Que toute forme de désolation, de tristesse, de stress, de découragement soit détruit au nom puissant de Jésus ! Qu’à cause de la force que me communique la joie de Dieu, je déclare que ma guérison commence à germer et que la santé divine soit mon partage dès maintenant au nom puissant de Jésus ! Je ne sombrerai, je ne coulerai pas avec cette maladie, je vivrai et je raconterai les merveilles de mon tendre Père céleste au nom puissant de Jésus-Christ.

Merci cher tendre Père céleste, à Toi et à Toi seul l’honneur, la louange et la gloire d’éternité en éternité au nom glorieux de Jésus !

Si vous avez fait cette prière avec moi avec foi, disons tous ensemble : amen, amen et amen.

J’attends le témoignage de votre guérison. Que Dieu vous bénisse abondamment et rendez-vous demain pour la suite de notre série. Hier, nous étions plus de 180 personnes sur le site, nous bénissons notre tendre Père céleste pour Son œuvre. Nous croyons que atteindre encore plusieurs personnes grâces à vos partages.

4 réponses

  1. Amen ! Merci pour ce rappel tendre Père. Tous les jours c’est Ton jour, je refuse toutes formes d’inquiétude, je regarde à Toi, remplis moi de Ta joie, ma force !

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