Un cœur joyeux : « Un bon remède » ! (Suite 16)

Shalom mes bien-aimés !
Que la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence et sa joie ineffable remplissent vos cœurs dans le glorieux nom de Jésus-Christ.

2^ème Partie : Où trouver cette joie pour nos cœurs afin de jouir de ce bon remède ?

Nous cherchons où trouver cette joie pour nos cœurs, afin de jouir de ce bon remède qui est un cœur joyeux. Parce que la plus part de nouvelles que nous recevons dans notre monde et des fois autour de nous, ne sont rassurantes mais au contraire volent ou influencent notre joie.

Pour ce, nous avons besoin de sources qui ne sont pas de notre monde et supérieures à tout ce qu’il y a du/ et dans le monde afin que notre joie survive, que nos cœurs en soient remplis, que nous recevions la guérison de nos maladies et que nous vivions en bonne santé.

Notre joie ne doit pas être de ce monde, ni être déterminée par les choses de ce monde car nous avons vu que la joie naturelle n’est pas permanente, elle peut changer en tristesse lorsque survient une situation contraire. Ce qui est bien avec notre Dieu est qu’Il peut en même temps à travers de Sa Parole, à travers de notre Seigneur Jésus, et le Saint-Esprit nous remplir de la joie d’une part et de l’autre changer les temps et les circonstances autour de nous. Dieu, étant le Maître des temps et des circonstances change les temps de troubles, ces circonstances malheureuses autour de nous afin de nous faire accéder aux temps et aux circonstances qui feront que Sa joie en nous ne soit pas affectée mais qu’elle soit parfaite et abonde.

Nous voyons la joie du Saint-Esprit sous deux angles. Dans la partie précédente, nous avons vu le point (a) où nous avons la joie à cause de Sa présence et Son œuvre en nous et maintenant nous voyons le point (b) à cause de la joie qu’Il produit en nous.

A part la présence et l’œuvre du Saint-Esprit qui nous remplit de joie, le Saint-Esprit en personne produit Sa joie en nous. Alléluia. L’ennemi est confus ! L’ennemi ne pourra plus voler notre joie !

La joie du Saint-Esprit vs les besoins de première nécessité

Commençons notre lecture avec Romains 14 :17 :
« Car le royaume de Dieu, ce n’est pas le manger et le boire, mais la justice, la paix et la joie, par le Saint-Esprit. »

Ici, la joie est mise à côté de besoins de première nécessité qui sont le manger et le boire. C’est-à-dire que notre joie ne dépend pas de choses que nous pouvons avoir ou ne pas avoir. Notre joie à nous est produite par le Saint-Esprit. Quand le Seigneur Jésus nous demande de chercher premièrement le royaume c’est aussi de ça qu’il s’agit. La justice, la paix et la joie par le Saint-Esprit. Dans notre contexte, nous nous intéressons à la joie qui est notre sujet. Que nous manquions et que nous soyons dans l’abondance, rien de cela n’influera notre joie car elle n’a pas les choses de ce monde comme source mais plutôt le Saint-Esprit.

La joie du Saint-Esprit vs les oeuvres de la chair

Allons dans Galates 5 :22 :
« Mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité »

Ici, nous voyons la joie, comme fruit de l’Esprit, être mentionné après les désirs de la chair. Qu’est-ce que cela veut dire ? C’est-à-dire qu’aucune des choses mentionnées avant le fruit du Saint-Esprit ne peut nous donner la joie qui est un bon remède. Toutes les choses mentionnées avant le fruit de l’Esprit ne peut qu’au contraire voler notre joie et détruire notre santé. Lisons cela comme elles ne sont pas mentionnées dans notre verset, dans Galates 5 :19-21, il est écrit :

« Or, les œuvres de la chair sont manifestes, ce sont l’impudicité, l’impureté, la dissolution, (20) l’idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes, (21) l’envie, l’ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d’avance, comme je l’ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le royaume de Dieu. »

Je ne pourrai pas mentionner les effets dévastateurs et destructeurs de ces choses. Prenons un ou deux exemples.

Les disputes

Il vous est déjà arrivé de vous disputer ? Après une dispute, naturellement, on perd sa joie.

L’envie

Lorsque vous avez envie de quelque chose et que vous n’arrivez pas ou vous ne pouvez pas carrément l’avoir, si vous faites pas attention, vous perdrez la joie.

Pour ne mentionner que ces deux là…le Saint-Esprit nous permet de vivre au-delà de toutes ces choses et produit par conséquent en nous Sa joie.

La joie du Saint-Esprit vs les tribulations

Clôturons cette partie avec 1Thessaloniciens 1 :6 :
« Et vous-mêmes, vous avez été mes imitateurs et ceux du Seigneur, en recevant la parole au milieu de beaucoup de tribulations, avec la joie du Saint Esprit »

Ici, la joie du Saint-Esprit est juste à côté de tribulations. C’est-à-dire que même les tribulations ne peuvent pas affecter la joie que le Saint-Esprit produit en nous. Dans d’autres versions, à la place de tribulations, l’on parle de grandes souffrances, de la détresse, d’épreuves nombreuses ou d’afflictions. Malgré tout cela, notre joie est et restera intacte parce qu’elle est produite par le Saint-Esprit en nous.

Alléluia ! N’est-ce pas que c’est glorieux ?

Que Dieu bénisse Sa Parole et rendez-vous à demain pour la suite.

Si vous êtes bénis, n’hésitez pas à partager et à nous le dire dans le commentaire.