Shalom bien-aimés dans le Seigneur. Recevez en abondance la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence et Sa joie ineffable. J’ose croire que vous allez tous bien ainsi que les membres de vos familles.

En cette période où notre foi est défiée, nous devons nous édifier et continuer à nous encourager. C’est ainsi que nous aurons la force de persévérer jusqu’à la fin afin que nous soyons sauvés. Cette crise qui a eu un commencement a aussi une fin. Ce n’est que Celui qui vit en nous, notre Dieu qui n’a ni de commencement ni de fin. Il est le Commencement et la Fin, le Premier et le Dernier, le Maître des temps et des circonstances.

L’avantage que nous avons sur le monde est que notre Rédempteur, le Seigneur Jésus est vivant ! Et, tant qu’Il vit, nous vivrons aussi.

Lisons Jean 14 :15-27. Je vous invite à lire tout le passage, mais ici, nous prendrons seulement la portion qui nous concerne, les versets 17-18, il est écrit :

« Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous. 19 Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus; mais vous, vous me verrez, car je vis, et vous vivrez aussi.»

En cette période d’épreuves, soyons rassurés que nous ne sommes pas délaissés à notre propre sort ni abandonnés à la merci de cette chose qui a commencée décembre 2019.

Ainsi, avoir une foi ferme et authentique est crucial. Dieu n’agit pas dans nos vies en groupe. Dieu agit personnellement et individuellement, suivant la foi de chacun. Celui qui persévérera jusqu’à la fin, c’est celui-là qui sera sauvé.

Pour ce, je vais nous montrer deux chrétiens, deux enfants de Dieu, deux serviteurs qui ont tous fait face aux épreuves. L’un a choisi de demander au Seigneur de prendre son esprit et l’autre a refusé de mourir avant son temps et a survécu à beaucoup d’épreuves. Il s’agit d’Etienne et de Paul.

a) L’expérience d’Etienne

Lisons Actes 7 :55-60 :
« Mais Étienne, rempli du Saint-Esprit, et fixant les regards vers le ciel, vit la gloire de Dieu et Jésus debout à la droite de Dieu. Et il dit: Voici, je vois les cieux ouverts, et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu. Ils poussèrent alors de grands cris, en se bouchant les oreilles, et ils se précipitèrent tous ensemble sur lui, le traînèrent hors de la ville, et le lapidèrent. Les témoins déposèrent leurs vêtements aux pieds d’un jeune homme nommé Saul. Et ils lapidaient Étienne, qui priait et disait: Seigneur Jésus, reçois mon esprit! Puis, s’étant mis à genoux, il s’écria d’une voix forte: Seigneur, ne leur impute pas ce péché! Et, après ces paroles, il s’endormit. » 

Voici ce que nous apprend l’expérience d’Etienne :

A chaque fois que nous sommes en danger, le Seigneur Jésus se lève pour nous. Le Seigneur Jésus ne reste pas assis quand nos vies sont en danger. C’est le seul endroit dans la Bible où l’on de Jésus debout à la droite de Dieu. Cependant, c’est notre attitude, notre foi, notre prière, notre confession qui déterminera le sens de l’intervention divine dans nos vies.

Alors, comme Etienne, nous devons :

(1) Toujours être rempli du Saint-Esprit.
Parce que si nous ne sommes pas remplis du Saint-Esprit, nous ne verrons pas Jésus. Nous serons remplis de peur, d’angoisses et nous manquerons l’intervention de Dieu. La nature n’admet pas le vide.

Il est écrit dans Romains 8 :15-16:

«Et vous n’avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d’adoption, par lequel nous crions: Abba! Père! L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. »

Quand nous sommes remplis du Saint-Esprit, nous serons remplis d’assurance d’enfants de Dieu.

Dans Proverbes 28 :1, il est écrit :

« Le méchant prend la fuite sans qu’on le poursuive, le juste a de l’assurance comme un jeune lion. »

(2) Toujours fixer nos regards sur Dieu.

Là où nous tournons nos yeux détermine ce que nous allons recevoir. Dieu ne soutient pas les incrédules, ceux qui doutent et qui ne lui font pas confiance.

Il est écrit dans 2 Chroniques 16 :9a :

« Car l’Éternel étend ses regards sur toute la terre, pour soutenir ceux dont le cœur est tout entier à lui. »

Et dans Psaume 34 :6 :

« Quand on tourne vers lui les regards, on est rayonnant de joie, et le visage ne se couvre pas de honte. »

(3) Nous devons veiller sur les paroles de nos bouches face à la mort.

Aujourd’hui, toute l’humanité est menacée de mort. Mais, notre langage, notre foi, c’est ce qui nous distinguera. Nous ne devons pas parler le même langage que ceux du monde.

Il est écrit dans Esaïe 8 :12 :

« N’appelez pas conjuration tout ce que ce peuple appelle conjuration; ne craignez pas ce qu’il craint, et ne soyez pas effrayés. »

Et dans Proverbes 18 :21, il est écrit :

« La mort et la vie sont au pouvoir de la langue; quiconque l’aime en mangera les fruits. »

Enfin, dans Nombres 14 :28, il est écrit :

« Dis-leur: Je suis vivant! dit l’Éternel, je vous ferai ainsi que vous avez parlé à mes oreilles. »

Voyons-nous ? Notre bien-aimé Etienne était rempli du Saint-Esprit, il a vu la gloire de Dieu, le ciel s’est ouvert pour lui, il a vu Jésus-Christ à la droite de Dieu, mais il n’a pas demandé d’être secouru mais de mourir. Donc, certains de nos frères que nous voyons partir entrent dans la gloire de Dieu. Plusieurs acceptent de succomber physiquement et de passer de l’autre côté. De fois, nous prions pour que nos bien-aimés guérissent, mais nous ne savons pas l’expérience qu’ils ont avec Dieu dans la maladie, dans le coma et certains, quand ils voient la gloire de Dieu décident de partir. Voilà pourquoi, lorsque les personnes qui nous chers et qui sont enfants de Dieu vont se reposer, nous devons pleurer mais sans perdre espoir parce qu’ils sont maintenant dans le repos de Dieu.

b) Le témoignage de Paul

Dans le témoignage de Paul, ci-dessous, nous allons voir comment cet homme a vécu des choses horribles qui pouvaient le conduire à la mort, mais ce dernier savait qu’il n’était pas encore temps pour lui de partir. Il savait que la mort ne devait ni le surprendre, ni le prendre à n’importe quel moment. Nous verrons qu’il savait qu’il pouvait décider soit de mourir ou de rester en vie.

Lisons d’abord son témoignage dans  2 Corinthiens 11 : 23-27, il est écrit :

« Sont-ils ministres de Christ? Je parle en homme qui extravague. Je le suis plus encore: par les travaux, bien plus; par les coups, bien plus; par les emprisonnements, bien plus. Souvent en danger de mort, cinq fois j’ai reçu des Juifs quarante coups moins un, trois fois j’ai été battu de verges, une fois j’ai été lapidé, trois fois j’ai fait naufrage, j’ai passé un jour et une nuit dans l’abîme. Fréquemment en voyage, j’ai été en péril sur les fleuves, en péril de la part des brigands, en péril de la part de ceux de ma nation, en péril de la part des païens, en péril dans les villes, en péril dans les déserts, en péril sur la mer, en péril parmi les faux frères. J’ai été dans le travail et dans la peine, exposé à de nombreuses veilles, à la faim et à la soif, à des jeûnes multipliés, au froid et à la nudité. »

Pouvez-vous souligner dans votre Bible combien de fois il a passé à côté de la mort ? Mes bien-aimés, avez-vous oublié que c’est Jésus-Christ qui a les clefs de la mort et du séjour des morts ? (Apocalypse 1 :18)
L’esprit de mort n’a aucun pouvoir sur les enfants de Dieu, car nous avons en nous l’Esprit de vie. A moins que nous choisissions de partir.

Voyons maintenant ce qui s’est passé dans Actes 28 :1-6 :

« Après nous être sauvés, nous reconnûmes que l’île s’appelait Malte. Les barbares nous témoignèrent une bienveillance peu commune; ils nous recueillirent tous auprès d’un grand feu, qu’ils avaient allumé parce que la pluie tombait et qu’il faisait grand froid. Paul ayant ramassé un tas de broussailles et l’ayant mis au feu, une vipère en sortit par l’effet de la chaleur et s’attacha à sa main. Quand les barbares virent l’animal suspendu à sa main, ils se dirent les uns aux autres: Assurément cet homme est un meurtrier, puisque la Justice n’a pas voulu le laisser vivre, après qu’il a été sauvé de la mer. Paul secoua l’animal dans le feu, et ne ressentit aucun mal. Ces gens s’attendaient à le voir enfler ou tomber mort subitement; mais, après avoir longtemps attendu, voyant qu’il ne lui arrivait aucun mal, ils changèrent d’avis et dirent que c’était un dieu. »

Est-ce la même chose dans votre Bible ? Si vous croyez vraiment que la Bible est et restera la Parole de Dieu peu importe nos épreuves, alors croyons que Dieu est concerné dans ce que nous vivons. Il nous sauvera certainement !

Clôturons par ces paroles de l’apôtre Paul comme je l’ai dit ci-haut, dans Philippiens 1 :19-24 :

« Car je sais que cela tournera à mon salut, grâce à vos prières et à l’assistance de l’Esprit de Jésus-Christ, selon ma ferme attente et mon espérance que je n’aurai honte de rien, mais que, maintenant comme toujours, Christ sera glorifié dans mon corps avec une pleine assurance, soit par ma vie, soit par ma mort; car Christ est ma vie, et la mort m’est un gain. Mais s’il est utile pour mon œuvre que je vive dans la chair, je ne saurais dire ce que je dois préférer. Je suis pressé des deux côtés: j’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur; mais à cause de vous il est plus nécessaire que je demeure dans la chair. »

Alors, la balle est dans votre camp ! Votre vie peut être soit prolongée, soit écourtée suivant la foi que vous professez dans les épreuves. Je nous prie de demeurer fermes. Le Seigneur Jésus vivant et nous vivrons ! Le Seigneur Jésus est vivant, je vivrai ! Le Seigneur est vivant et vous vivrez !

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5 réponses

  1. Merci, pasteur, pour cette édification qui est la suite de :”Dès le matin “, soyez abondamment béni et fortifié au nom de Jésus

    1. Seigneur, je te suis reconnaissante pour le souffle de vie renouvelé jusqu’à ce jour pour les enfants, ceux qui se sont chers, mes biens aimés (ées) de la famille bénie mondiale
      Seigneur, merci pour ton serviteur, veille sur lui et les siens je te prie, firtifie-le
      Père céleste augmente notre foi afin que nous vivions ta gloire car CHRIST vit, nous vivrons aussi en son nom. Amen Amen Amen Alléluia

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