Shalom mes bien-aimés !
Que la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence et sa joie ineffable remplissent vos cœurs dans le glorieux nom de Jésus-Christ.
2ème Partie : Où trouver cette joie pour nos cœurs afin de jouir de ce bon remède ?
Nous continuons de répondre, dans cette deuxième partie à la question Où trouver cette joie pour nos cœurs afin de jouir de ce bon remède ?
Nous avons vu que nous deux grandes responsabilités face à la Parole ou aux Paroles de Dieu : (1) Les recueillir et (2) les dévorer. Pour ce faire, nous ne devons pas éviter à tout prix ce deux piège : (1) Méditer sur nos problèmes et (2) Penser que c’est Dieu est la source de nos problèmes et nos soucis.
Pour ce faire, nous devons faire une chose en permanence :
Méditer la Parole de Dieu
Ce n’est pas un exercice facile à faire. Nous ferons face à nos pensées et à notre corps qui est souffrant.
– Nos pensées vont nous rappeler tout ce que les médecins nous ont dit, ce diagnostic fatal ;
– et tout ce que chers Google, YouTube et compagnies nous diront de pire à nous attendre de la maladie diagnostiquée, des statistiques de personnes qui en meurent chaque année etc. ;
– plus dur encore, notre corps avec ses symptômes d’une part, ses douleurs et faiblesses de l’autre, nous rappellera que nous sommes malades.
La persévérance dans la méditation de la parole de Dieu nous donnera la victoire si nous ne nous relâchons. La méditation de la Parole de Dieu nous aide à faire plus confiance à Dieu notre créateur qu’aux hommes ainsi qu’à notre propre corps.
Nous aurons deux choix :
– soit croire aux rapports médicaux et à notre corps ;
– soit croire à la Parole et aux promesses de Dieu pour nous.
Esaïe 53 :1er nous dit :
« Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l’Eternel ? »
Dans Romains 4 :17-19, nous voyons l’expression de la foi de notre cher papa Abraham. Lisons cela :
« (17) selon qu’il est écrit : Je t’ai établi père d’un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient. (18) Espérant contre toute espérance, il crut, en sorte qu’il devint père d’un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit : Telle sera ta postérité. (19) Et, sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé, puisqu’il avait près de cent ans, et que Sara n’était plus en état d’avoir des enfants. »
Humainement parlant, il est pratiquement impossible qu’Abraham et Sarah aient encore des enfants. Mais Abraham a cru au Dieu qui ne guérit pas seulement, mais qui donne la vie aux morts. C’est-à-dire, si je suis encore en vie, il y a de l’espérance pour moi. La force de papa Abraham est qu’il n’a pas considéré que son corps était déjà usé, ni que son épouse n’était plus en état d’avoir des enfants.
Suivant le diagnostic médical, c’est une maladie incurable, une maladie mortelle ! C’est ce que la médecine dit, mais ce n’est pas ce que Dieu dit. Je dois méditer la Parole de Dieu, lire la Parole de Dieu. En méditant la Parole de Dieu, ma foi grandira. Je pourrai faire confiance en Dieu et alors j’attirerai Sa main et je vivrai sa puissance.
Bien-aimés, méditons la Parole de Dieu. Prenons la décision de ne penser qu’à la Parole de Dieu. Pensons à toutes les guérisons que Dieu a accomplies dans la Bible et qu’Il accomplit encore aujourd’hui dans la vie de ses enfants à travers plusieurs de Ses serviteurs.
Que Dieu vous bénisse, bon début de semaine et à très bientôt !